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Migration, mobilité et réfugiés

La notion de « mobilité géographique »  englobe aujourd’hui des phénomènes très divers, comme la migration non choisie des réfugié-e-s, ou les mobilités répétées des travailleurs et travailleuses très qualifié-e-s et de leurs familles. Les formes contemporaines de mobilité sont liées à des jeux de forces sociales, politiques et économiques, et comportent des enjeux psychologiques importants, pour une personne, une famille ou une communauté. Nous développons une théorie socioculturelle de la mobilité qui tient compte de ces deux aspects. Nous essayons en particulier de rendre compte des expériences de rupture que vivent les personnes et des dynamiques de transition, de (re)construction de sens, d’apprentissages et de développement qui sont engagées ou mises en péril. Nous travaillons en ce moment sur des problématiques d’asile et santé mentale, d’éducation dans les camps de réfugié-e-s, de trajectoires de personnes en procédure de naturalisation, et dans le cadre du « nccr on the move », sur les familles en mobilité répétée.