Depuis la fin de ses études à l’Institut d’ethnologie de l’Université de Neuchâtel (UNINE) et son mémoire de master consacré au monde de l’art contemporain à Bichkek au Kirghizstan (What is exactly kyrgyz contemporary art, 2012), Baptiste Aubert poursuit ses recherches de terrain combinant ethnologie et cinéma. En 2014, il termine pour la Fondation Pro Aserablos le court-métrage Ce qu’on fait de nos peines (29 min. Pro Aserablos) sélectionné au Festival International du Film Ethnographique de Québec. Ses autres mandats le conduisent à Sion (Mourir à Sion, 2016 aREC), à Niamey au Niger (Le collège invisible, 2018, aREC) et à Isérables (La vie de tunnel, 2017, aREC). Depuis septembre 2017, il travaille comme assistant en anthropologie à l’Université de Neuchâtel où il réalise une thèse de doctorat en anthropologie visuelle sur la mise en images de la mémoire dans une ancienne ville industrielle. Cette thèse de doctorat qui porte le titre de travail Faire de Verviers un film : enjeux méthodologiques, théoriques et esthétiques relatifs à la mise en images de la mémoire dans une ville post-industrielle de Belgique sera défendue sous la forme d’un texte accompagné d’un film ethnographique.

Affiliations institutionnelles représentatives

• Co-président de la commission audiovisuelle de la Société Suisse d’Ethnologie
• Membre de l’association Recherche Ethnologie Cinéma
• Membre de la Société Suisse d’Ethnologie

Interventions dans les médias

• Autour du projet de recherche Souvenirs du Drotché dans l’émission versus-penser de la RTS (avec Fabienne Défayes) https://www.rts.ch/play/radio/versus-penser/audio/un-barrage-comme-porte-dentree?id=9119220
• Autour du film Ce qu’on fait de nos peines dans l’émission Babylone de la RTS (avec Fabienne Défayes) https://pages.rts.ch/espace-2/programmes/babylone/6793629-babylone-du-02-06-2015.html 

© Paul Wintgens

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Résumé de thèse

• Anthropologie visuelle
• Anthropologie de la mémoire
• Anthropologie du patrimoine